En amont d’une carrière, un réseau d’influence portant sur le choix des futures études oriente déjà l’individu. Que ce soit le modèle parental ou les copains qu’on veut garder à nos côtés, la décision est rarement objective et mesurée.
S’ensuit alors le premier job par opportunité nous conduisant souvent vers un abîme aux couleurs peu reluisantes mais que l’on s’évertue à vernir en société.
En effet, nous confions notre avenir à un humain que l’on ne connait pas ayant rédigé une offre au sein d’une entreprise dont on ne perçoit ni les valeurs ni le métier.
Si par le plus grand des hasards une rencontre angélique s’orchestrait sur notre lieu de travail, alors peut être qu’un peu de lumière dissiperait les ténèbres d’un début de carrière aussi morne qu’ennuyant.
Toujours par miracle, notre regard croisant les mérites d’une formation nous donne l’espoir d’être sauvé du turbin dans lequel on s’est englué mais d’où on veut s’extirper à tout prix.
Les choix de carrière opérés ne résultent que trop rarement d’une vocation dévorante ou d’un choix délibéré.
Il devient donc urgent pour toute personne jouant un rôle d’encadrement, d’écouter et observer avec minutie chaque collaborateur pour en comprendre la motivation intrinsèque.
Celle-ci couplée aux talents naturels feront de chaque équipier un membre indissociable de vos réussites futures.